Au vernissage de l'exposition

L’esclavage moderne dénoncé à travers l’art photographique.

Démarée le 22 septembre, l’édition 2016 de la quinzaine de la photographie a occupé les villes telles que : Abomey-Calavi, Porto-Novo et Cotonou et elle prend fin ce 08 octobre.

 

 

« Mettre ensemble tous les acteurs de l’art photographique pour briser les frontières à travers les images ». C’est l’objectif principal de la quinzaine de la photographie qui est à sa 3ème édition, une édition dite spéciale, à en croire Didier KPASSASSI, le président délégué du festival, du fait que cette édition soit allée au-delà des frontières africaines. Le thème retenu pour cette année est : « L’esclavage moderne » et plusieurs activités ont meublé cet événement. Il s’agit des rencontres professionnelles, des expositions et des ateliers de formation à travers lesquelles les méfaits de la surexploitation de certaines couches sociales liée aux travaux forcés sont dévoilés.

Une des oeuvres exposées

Une des oeuvres exposées

Des photographes professionnels venus de la Côte d’Ivoire, du Togo, du Bénin, du Niger, de la Centrafrique, du Mali et du Congo-Brazaville ont participé aux activités. La place des martyrs à Cotonou, l’embarcadère de Calavi (Ganvié), la place Bayol à Porto-Novo, le centre culturel Artisttik Africa à Agla ont accueilli la quinzaine. Le centre culturel chinois quant à lui connaîtra la fin de cet événement ce vendredi 07 octobre à travers « la nuit de la photographie ».



Basilia SEGBEY(stag).

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